Après quelques semaines de vacances, voici déjà la rentrée. C’est l’occasion pour ce 10ème numéro de la LETTRE de faire un focus particulier sur la formation.
L’Adapei Papillons Blancs d’Alsace mise sur l’humain. Notre énergie nous la tirons de l’investissement des femmes et des hommes qui s’engagent au quotidien pour faire vivre le projet associatif. L’Adapei du Bas-Rhin et les Papillons Blancs du Haut-Rhin avaient de tout temps misé sur la formation considérée comme un vecteur de promotion et de progrès. C’est donc tout naturellement dans la continuité que notre nouvelle association inscrit son action.
Les quelques exemples que présente cette Lettre n°10 illustrent parfaitement cette volonté.
Tous périmètres confondus, l’Adapei Papillons Blancs d’Alsace consacre annuellement un budget supérieur à 2 300 000 € à la formation continue de ses personnels, des travailleurs de ses ESAT ou de ses bénévoles. Ce chiffre est à la hauteur de nos ambitions et des objectifs que nous nous sommes fixés.
Notre GCSMS s’est structurée en conséquence, avec la création du Service des Relations Sociales chargé d’accompagner efficacement les Pôles d’Etablissements et Services et leurs professionnels dans la construction de leurs projets de formation. Et plus particulièrement pour les aider à tirer le meilleur parti du travail avec notre OPCA de branche UNIFAF ou avec celui du secteur de la Métallurgie pour nos Entreprises Adaptées.
De nombreuses actions de formation s’appuient sur nos ressources internes, mettant en valeur les compétences existantes au sein de l’association et mutualisant utilement nos moyens.
Le Centre de Formation ETAPES, dont la mission est d’œuvrer à la qualification et à la formation des personnes atteintes d’un handicap, est devenu un établissement régional qui aujourd’hui ouvre ces services à tous les établissements d’accompagnement par le travail. Il est un partenaire reconnu de l’AGEFIPH de la Région Grand Est.
L’enjeu est de taille pour notre association et son projet, car la formation doit être considérée comme un investissement prioritaire. Dans la conjoncture difficile de notre pays, ou de plus en plus d’efforts nous sont demandés pour contenir la dépense publique, nous devons poursuivre en ce sens. Et les quelques exemples présentés dans cette nouvelle Lettre démontrent le bien fondé de notre volonté politique.
Bonne lecture !
P. FRARE, Président & C. MATHIS, Président-adjoint